L'injonction faite par D.ieu aux Bné Israël d'être saints comme Lui fait référence à la Kédoucha, qui consiste dans le fait de se séparer de tout ce qui n'est pas permis par la Torah, et en l'occurrence de toutes les formes de mensonge. D'ailleurs, de tous les interdits, le mensonge est le seul au sujet duquel la Torah exige expressément de "s'en éloigner". Tout comportement contraire reviendrait à profaner le Nom divin.
D'où proviennent cet amour du Émet (la vérité) et cette haine du Chéker (mensonge) ? Quel est l'objectif recherché dans cette interdiction formelle du mensonge ? Qui incarne le Émet dans toute sa splendeur, dans son essence même ? En quoi la quête de la vérité permet-elle de s'attacher à D.ieu ? Dans quelle mesure la Néchama aspire-t-elle à la vérité ? Pourquoi non seulement faut-il respecter les interdits de la Torah mais encore, ne pas abuser de ce qui est permis ? La mesure dans toute chose, même permise, est-elle la clé de la sainteté ?
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